*Vous trouverez en cliquant ici une version du DVV
à déposer dans les salles départementale.
Votre Comité exécutif 2017-2018
De gauche à droite: Aude Lacasse, Responsable aux dossiers syndicaux, Patrick Lebonnois, Président, Robin Dick, Responsable aux dossiers syndicaux, Judith Trudeau, Vice-présidente, Michel Milot, Secrétaire général, Claudia Chartier, Adjointe à l’exécutif et Denis Paquin, Trésorier.
Que dit Aude à Patrick? Pourquoi le président pose-t-il avec un café? Et si on inter changeait la Convention par un hibou ou une chouette? Pourquoi Claudia lève-t-elle le menton? Toutes ces questions trouvent leurs réponses dans la formule du pastiche. Ainsi, à quoi fait référence cette photo? Cadeau en prime à la première personne qui me donne la réponse (Judith Trudeau).
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Un premier De vive voix sous le signe de la reconnaissance et de l’espoir
Peut-être que ce premier De vive voix vous semblera costaud. Tentez de le lire jusqu’au bout. Deux mots reviennent: reconnaissance et espoir. Reconnaissance du travail de l’exécutif précédent par le très beau texte de Robin Dick. Espoir, par le biais de réflexions proposées par Christian Nadeau, chez les participantEs des États généraux de l’enseignement supérieur et surtout, par la victoire des Amis du boisé du Souvenir, mouvement citoyen initié par un de nos collègues, Daniel Desroches, professeur de philosophie. Dans ce précieux texte, Daniel nous expose une stratégie pour mener à bien certaines luttes nécessaires. De l’idéal à la pratique, c’est une victoire absolument inspirante.
Bonne lecture!
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Rappel aux nouveaux profs
30 jours après sa date d’engagement, l’enseignantE doit remettre au Collège les documents de scolarité pertinents à sa scolarité (article 6.3.01 de la convention collective)
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Rappel à tous les profs
Début d’année rime avec élaboration du «plan annuel de travail» en département. Un gabarit vous est proposé par l’institution. Tenir compte du plan stratégique de développement est l’expression employée dans la Convention. Tenir compte peut vouloir dire remplir les petites cases, mais le problème c’est qu’on joue alors le jeu de l’assurance qualité (référence aux États généraux sur l’enseignement supérieur; voir le compte rendu ci-dessous). Tenir compte peut aussi vouloir dire se réapproprier l’esprit et la lettre d’un plan de travail. Que voulons-nous faire en département? Quels seront nos objectifs? Que voulons-nous explorer cette année? Tenir compte rend encore possible l’autonomie professionnelle.
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Mobilité enseignante
«DATE LIMITE POUR LA SOUMISSION DES DEMANDES À LA DIRECTION DES ÉTUDES (à Julie Labrosse): avant le 27 septembre 2017 pour les projets se déroulant de novembre 2017 à avril 2018.»
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Remerciements à l’ancien exécutif
par Robin Dick, responsable aux dossiers syndicaux.
Ça me fait tellement plaisir de pouvoir remercier publiquement les trois autres membres de l’exécutif 2016-2017 pour tout ce qu’ils m’ont apporté personnellement et pour le travail qu’ils ont accompli cette année pour le bien des membres et de toute la communauté du CLG.
Je tiens d’abord à les remercier en tant qu’équipe car, comme dans toutes les équipes qui fonctionnent bien, le tout est plus que le somme des parties. Je vous remercie pour votre patience à mon égard, pour votre générosité et pour votre respect.
Quand on devient membre de l’exécutif syndical, on accepte de vivre en serre chaude où nos défauts et nos faiblesses sont difficiles à cacher. Comme nouveau membre, on doit humblement et lentement chercher à tailler sa place. Parfois c’est difficile de voir les autres membres qui doivent compenser pour notre déficit de compétence par une surcharge de travail. Merci de l’avoir fait si discrètement. Vous êtes de bons pédagogues tous.
Mais il faut également signaler l’apport de chaque membre de cette équipe formidable.
Pour moi, Claudie est comme le journaliste d’enquête, qui mesure bien la valeur des mots, qui n’affirmera rien sans avoir la pièce justificatrice en main. C’est un grand atout pour un syndicat d’avoir quelqu’un qui a un si grand sens de l’exactitude. Je te remercie Claudie pour cette vigilance qui nous protège contre les contradictions et les affirmations trop cavalières car c’est sur elle que repose la crédibilité de notre syndicat.
Stéphan me rappelle l’actuaire qui est venu nous parler à la formation pour la retraite il y a quelques semaines. Plutôt réservé mais pince sans rire quand même, Stéphan répond aux questions avec l’autorité de quelqu’un qui a passé des heures à approfondir ses connaissances de la complexité de la tâche et de tous les aspects techniques du syndicalisme collégial. Il prenait toujours le temps d’expliquer aux membres les détails de leur situation particulière.
Fred, vous savez, a passé des années à travailler dans le domaine de la santé et son côté infirmier paraissait, car il prenait toujours grand soin des personnes à qui il avait à affaire. Dès qu’un membre franchissait la porte du bureau, Fred courrait pour l’accueillir et s’assurait de bien l’écouter et comprendre sa situation. Méticuleux dans ses dossiers et chaleureux dans ses relations interpersonnelles, il était évident que Fred prenait son rôle d’accompagnateur à cœur.
Alors, entouré par une journaliste d’enquête, un actuaire et un infirmier, tous avec plein d’autres qualités et de compétences que je ne peux pas énumérer ici, je me sentais bien petit des fois cette année, mais aussi très privilégié. Et j’ai beaucoup appris. Claudie, Stéphan et Fred, même si je suis plus vieux que vous, vous avez été comme des grands frères et sœur pour moi cette année et je ne saurai pas vous dire merci assez. Et je sais que tous les membres du SEECLG, qu’ils le sachent ou non, vous doivent une fière chandelle aussi.
Mais ce ne serait correct de ne pas mentionner l’importance de Claudia pour l’équipe de 2016-2017. Inébranlable et constante, compétente et efficace, même avec deux petits à la maison (qui étaient bien trop souvent malades cet hiver), j’ai l’impression que Claudia devient de plus en plus la colonne vertébrale de l’exécutif. On te doit beaucoup! Une chance que tu seras là l’année prochaine!
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«…pour agir ensemble, il faut parler ensemble car l’action collective du syndicalisme est d’abord et avant tout une interaction, une dynamique d’échange.»
Christian Nadeau
Chose promise chose due
par Judith Trudeau, porte-parole syndicale aux affaires extérieures et responsable à l’information.
Compte rendu de lecture : Christian Nadeau, Agir ensemble, penser la démocratie syndicale, Montréal, Somme toute, 2017.
Lors de la dernière Assemblée Générale, en juin dernier, j’ai fait la promesse de revenir sur le dernier ouvrage de Christian Nadeau. Si j’étais restée sur ma faim lors de la lecture de Contre Harper, le dernier né du philosophe politique et militant pour la justice sociale renoue avec la rigueur et nous laisse avec plus de solutions pour raviver la démocratie syndicale.
D’abord l’auteur analyse les maux liés au syndicalisme contemporain :
«Il veut la solidarité et l’égalitarisme, mais se pense lui-même de façon verticale, la base appuyant ce que propose le sommet. Pour dire les choses franchement, le syndicalisme souffre d’un sérieux déficit démocratique auquel il doit remédier s’il espère survivre aux prochaines menaces contre lui.» (p.11)
Si le constat est lucide pointant la dissension entre le fond et la forme, le prochain constat est encore plus douloureux :
«Voici le dilemme. D’un côté, toute tentative de changement se trouve confrontée à des freins institutionnels – les procédures complexes, lentes et lourdes de la vie syndicale qui sont cependant des maux nécessaires puisqu’ils évitent les dérives mais créent un sentiment d’impuissance chez les membres. D’un autre côté, le syndicalisme se meurt lorsqu’il n’est plus animé par un dynamisme militant. Il devient une institution sclérosée, une suite de services à la carte dont on ne voit plus la dimension politique. Bref, il n’y a pas de militantisme sans institution, mais l’institution, dans son état actuel, engourdit et même dans certains cas, paralyse l’action militante.» (p.13)
Nadeau, avant d’exposer certaines pistes de réflexion afin de dépasser ces maux en apparence indélogeables, commencera par définir ce qu’il entend par un groupe.
Un groupe : le sens de l’action collective.
Un groupe n’est pas seulement la somme de ses parties. A+B+C ne constitue pas un groupe. Il s’agit d’une logique agrégative. Un rapport écrit par trois personnes successivement peut devenir un véritable gâchis s’il n’y a pas d’interaction. À titre d’exemple personnel, je me souviens qu’en 2012, deux étudiants faisaient un dossier de presse sur la grève étudiante. À la remise du travail final, après tout le périple de la grève, les deux étudiants ne se parlaient plus. Ainsi, l’introduction et la première partie de l’analyse du dossier avaient été rédigées par un étudiant contre la hausse des frais de scolarité ; ceux que l’on appelait les «rouges». La seconde partie de l’analyse et la conclusion avaient été rédigées par un étudiant qui était pour cette hausse ; ceux que l’on appelait les «verts». Inutile de dire que ce travail était tout sauf un travail d’équipe…
Un groupe n’est pas non plus une entité sans corps. Le gouvernement, la CSN, le vrai monde, la majorité silencieuse ne représentent pas un groupe de façon appréciable. C’est ce qu’on appelle la logique collectiviste, groupe auquel on attribue des actions qui ne représentent pas la réalité car occulte les rapports de force, le dynamisme, les discussions etc.
Pour Nadeau, si le groupe n’est ni l’agrégat des parties ni une synthèse abstraite, «il est une interaction à géométrie variable entre les êtres différents dans leurs personnes, mais identiques dans leurs droits, lesquels leur garantissent précisément de pouvoir être ce qu’ils sont, et non ce qu’on leur impose d’être.» (p.23)
Le raisonnement interactif et une interdépendance entre les parties constitue donc la définition honnête de la logique d’un groupe.
Interaction et interdépendance. À partir de cette définition, une des solutions simples pour raviver le syndicalisme est d’échanger, de parler, de se parler. Ainsi, en dehors des Assemblées, Nadeau privilégie des espaces informels pour que tous et toutes puissent échanger sur des inquiétudes communes, des préoccupations, des souhaits, des volontés, des impossibles et des possibles. La logique de l’Assemblée demande de trancher entre différentes options. Pour qu’il y ait émergence d’options nouvelles, il faut bien que ces possibles s’échangent…D’où l’importance des 5 à 7 syndicaux…
Sans naïveté, l’auteur pointe d’autres maux qui minent le milieu syndical tel que sa judiciarisation qui favorise la logique agrégative des membres (j’ai le droit de) et remet le pouvoir aux experts. Le clientélisme et le maraudage représentent un autre problème. «Le membre-client voit son syndicat comme une entreprise, et le syndicat se comporte comme telle en se battant furieusement contre ses compétiteurs.» (p.37) La professionnalisation du syndicalisme peut aussi miner la vie syndicale : «personne ne remet en cause l’expérience et le savoir d’une personne qui se consacre à temps plein aux activités syndicales. Le pouvoir d’influence de la permanence pose un réel problème lorsqu’il contribue à la division entre la direction d’un syndicat et sa base.» (p.42)
En contrepartie, Nadeau recense d’autres moyens pour délier la parole : des débats publics autour d’enjeux qui nous touchent (je pense à l’invitation d’Éric Martin, l’an passé, venu nous entretenir de l’assurance qualité et aux États généraux de l’enseignement supérieur en mai dernier) ou aux teach in lors de la Grève étudiante (…), des simulations de jurys syndicaux, des sondages délibératifs, des budgets participatifs (ici, à titre d’exemple, le CACE pourrait expérimenter ce modèle.
Pour Nadeau, la vitalité démocratique, tant syndicale que québécoise dans son ensemble, repose sur deux jambes : la participation et la représentation. Ce sera à nous tous et toutes de nous assurer de la «bonne marche» de cette démocratie.
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«Vos intérêts ne sont pas les nôtres. Et, sachez que nous le savons.»
Thomas Boot, 1782.
États généraux de l’enseignement supérieur, compte rendu d’une rencontre inspirante
par Judith Trudeau, porte-parole syndical aux affaires extérieures et responsable à l’information.

Premier événement de la sorte, les États généraux de l’enseignement supérieur avaient lieu à l’Université Laval à Québec les 18 au 20 mai derniers. Quelques cinq cent amoureux de l’éducation postsecondaire s’étaient donnés rendez-vous. Des professeurEs, chargéEs de cours, psychologues, étudiantEs, employéEs de soutien etc. Le but ? Discuter, analyser et diagnostiquer les effets des politiques d’austérité sur l’enseignement supérieur. S’indigner parfois des priorités douteuses au sein d’établissements qui subissent les coupes, questionner l’envahissement du langage managérial qui sert de canevas unique de la pensée, remettre en question les diktats du marché dans les salles de classe. Re-souligner à grands traits que l’apprentissage, quel que soit le domaine, demande du temps. Si les profs ont besoin de temps pour travailler leurs cours (nouvelles lectures, mises à jour techniques, réflexion sur les pratiques…), les étudiantEs ont tout aussi besoin de temps pour comprendre le langage qui leur est proposé et en faire du sens. Apprendre, c’est décanter, c’est se réapproprier, c’est faire sien le savoir de l’autre. Ce temps si précieux ne correspond pas à la logique frénétique du marché. Il ne faut donc pas s’arrimer à cette logique ; il faut rompre.
Les ÉGES ont proposé cinq grands thèmes de travail : finalité de l’enseignement supérieur, droit à l’éducation, qualité de l’enseignement, gouvernance et collégialité et l’avenir de l’enseignement supérieur. Unanimement, les invitÉes ont mis en mots un malaise généralisé : la dépossession progressive des artisans de l’éducation de leur propre métier. Pendant ces deux jours, ce sont les Francine Pelletier, Michel Seymour, Éric Martin, Jean Portugais, Martine Desjardins, Louise Briand, Marianne Di Croce, Claude Vaillancourt et autres engagéEs qui, tour à tour, ont proposé études et réflexions sur l’éducation supérieure. À titre de synthèse, je vous fais part, bien humblement, de quelques réflexions qui ont émergées pendant ce colloque.
Quelques chantiers de réflexion …
- Quelle est la fine ligne entre la démocratisation du savoir (l’accessibilité du savoir à toutes les classes sociales, principe noble en occurrence) et le droit au diplôme (point de bascule de la posture de l’étudiant à celle de client) ? (Nous sommes passés d’une lutte des classes à une lutte des places au sein de la classe moyenne, Maxime Ouellet.)
- Comment dénoncer efficacement le virage autoritaire de certains Conseils d’Administration qui ont outrepassé leurs rôles et mandats ? Les exemples du Collège de Lévis Lauzon et celui de l’UQO.
- Du rapport Parent au rapport Demers ; regard sur la transformation de la société québécoise.
- C’est le précariat[1] (sublimé parfois par la bonne volonté des permanents) qui est la variable explicative de la transformation (à l’interne) de l’humanisme au néolibéralisme en éducation. L’acceptation de projets (avec ressources) sans remise en question des tenants et aboutissants des dits projets peut être une illustration de ce phénomène. L’humanisme néolibéral serait un concept à définir.
- Le temps long n’est ni assuré par les programmes d’éducation (ministère), ni par une direction de collège ou d’université, ni par les étudiants qui y sont de passage mais bien par les professeurs.
- L’assurance qualité nuit à la qualité de l’enseignement.
- Repenser la structure de financement des institutions en ayant en tête qu’actuellement il y a une dévalorisation envers les institutions en région. Nous avons besoin d’une réelle réflexion sur l’éducation supérieure en valorisant l’ensemble du territoire québécois. La croissance de certains collèges vs la fermeture de programmes dans d’autres collèges en région.
- Il faut se réapproprier les mots de l’éducation et leur donner une substance et ne pas laisser le langage du public management coloniser l’imaginaire.
Peut-être avez-vous compris qu’il s’agit d’un programme critique ambitieux. Peut-être comprendrez-vous pourquoi j’aurais aimé que nos patrons (adjoints à la direction et direction) y soient présents afin de prendre acte des différents irritants. Parler entre convaincus peut-être louable et appréciable mais, c’est dans le dialogue entre différents corps de métier aux logiques parfois antagonistes que peut naître un véritable travail de collaboration, notamment, dans la reconnaissance respectueuse de nos visions. Je me souviens de la présence absolument appréciée de monsieur Michel Louis Beauchamp, directeur de notre institution, au colloque Cégep Inc. Les ÉGES représentaient une suite certaine à ce colloque critique. Il y en aura d’autres. Je me promets de vous tenir au courant.
[1] Les régimes de précarité des professeurs non-permanents et les chargéEs de cours.
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Principes stratégiques
d’un mouvement citoyen efficace
Le cas des Amis du Boisé du Souvenir à Laval
Par Daniel Desroches, PhD, Professeur au département de philosophie
Introduction
La Ville de Laval annonçait, en 2012, un projet de parachèvement routier qui allait détruire le dernier boisé d’intérêt de Laval-des-Rapides. Jusqu’ici rien pour s’émouvoir. Or, c’est en réponse à la disparition de ce boisé au cœur d’un corridor de 25 hectares que les Amis du Boisé du Souvenir se sont constitués. Après quatre années et demi d’engagement, les Amis ont obtenu gain de cause en août 2017 : la troisième ville du Québec choisissait de retirer le controversé projet routier de son schéma d’aménagement révisé. Qui plus est, le boisé urbain bénéficiera désormais de l’affectation de «conservation», soit le plus haut degré de protection accordé par la Ville de Laval. Comment expliquer une victoire citoyenne aussi imprévisible ? Dans le texte qui suit, je proposerai quelques réflexions sur la conduite d’un mouvement citoyen efficace.
Au départ, tous les mouvements sociaux ont une histoire : ils se sont inscrits à un moment ou à un autre dans une lutte ou un conflit dont ils devront sortir pacifiquement. C’est pourquoi, il nous faut concevoir le développement de notre mouvement citoyen en tenant compte de sa naissance, de sa maturité et de son héritage. La vie étant ce qu’elle est, notre projet devra avoir un début et une fin. Le sociologue F. Alberoni a décrit la vie des mouvements collectifs par les trois phases suivantes : l’état naissant, l’état d’institution et l’état quotidien. Cette description est valable pour le mouvement syndical, car l’institutionnalisation de ses pratiques et revendications est un héritage pour les générations de travailleurs, tandis que le fait de pouvoir compter sur la présence d’un syndicat sans s’y engager activement représente l’état quotidien du syndicalisme. Comme nous le verrons mieux par la suite, si notre mouvement a un cycle de vie complet, si notre mouvement a un cycle de vie complet, il nous faudra élaborer un programme défensif suivi d’un programme constructif, c’est-à-dire qu’à la prise de conscience d’un différend devra succéder une solution au problème que nous avons rencontré (Pour la suite de cet article, cliquez sur le lien suivant: BdS_Principes stratégiques.)
À gauche: Karel Mayrand, porte-parole de la fondation Suzuki, au centre, Daniel Desroches, fondateur du mouvement citoyen Les amis du boisé du Souvenir et professeur de philosophie au Collège Lionel-Groulx et à droite, Guy Garand, directeur général du CRE de Laval. Conférence de presse, juin 2016. Photo: Judith Trudeau
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Parole aux membres
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Pages Facebook
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À VENIR
Activités des profs
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- Matinées café au Sh organisées par Véronique Dupuis, professeure en Histoire, du 28 août au 30 août, de 9 h à 10 h 30.
Local et national
- 30 août: Assemblée générale du SEECLG au D-415
- 4 septembre: Fête du travail
- 7 septembre: Commission des études (devancée)
- 7-8 septembre: Conseil fédéral
- 13 septembre: Réunion départementale
- 14 septembre: 5 à 7 syndical de la Rentrée organisé par Sciences humaines
- 16 septembre: Tournoi de golf Leucan CCSNL
- 20 septembre: Comité de programme
- 21 septembre: ACCDP
- 21-22 septembre : Regroupement cégep
- 26 septembre: Conseil d’administration