*Vous trouverez en cliquant ici une version du DVV à déposer dans les salles départementales

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Cabane à sucre chez Lalande, mars 2018

Formulaire A, rappel

par Chantal Pilon secrétaire générale du SEECLG et Aude Lacasse, responsable aux dossiers syndicaux (CRT) pour le SEECLG.

Vous devez remplir le formulaire A pour postuler sur les charges d’enseignement de l’automne. Le formulaire se trouve dans Paie.net. Vous devez le transmettre à la direction des ressources humaines avant le 1er mai. Pour la session d’automne, les formulaires qui ont été remplis avant le 1er avril seront valides. Il n’y aura pas d’affichage à la session automne 2018. Si vous avez une tâche au moment de la répartition, le courriel (lettre) vous confirmant cette tâche vous sera envoyé au début de la session. Si vous n’avez pas de tâche au moment de la répartition, un courriel contenant les charges disponibles (remplacements) vous sera envoyé après la période des ouvertures et fermetures de cours (avant le début de la session). Dans les deux cas, vous aurez alors un délai de 24 heures pour signifier votre intérêt pour la ou les tâches offertes dans votre discipline.


La saga Amazon…

par Judith Trudeau, présidente par intérim du SEECLG

Cela a fait du bruit dans les corridors. Un amalgame fâcheux entre les trésors que sont la bibliothèque (institution, livres, ressources) ainsi que nos collègues qui y travaillent et la marchandisation insidieuse à travers l’outil Amazon. Après trois articles (que je vous re-soumets ici), la proposition votée unanimement en AG, des rencontres avec Alain Girard et Josianne Sauvé, voilà, nous pouvons dire collectivement que le petit David a repoussé Goliath. Oui, à partir du vendredi 6 avril, on débranche les affichettes d’Amazon. Premier collège sur les 29 visés à agir en ce sens. Soyons en fiers!

N’oubliez pas de répondre au sondage  Ma bibliothèque idéale


«Amazon s’insinue dans les bibliothèques de cégep»

Le géant américain Amazon s’est faufilé dans le moteur de recherche des bibliothèques de 29 cégeps, qui redirigent les lecteurs vers cette multinationale du commerce en ligne exempte de taxes et d’impôts au Canada.

Selon ce que Le Devoir a appris, 60 % des bibliothèques de cégep utilisent un logiciel de recherche qui dirige les lecteurs vers le site Amazon. Ce lien commercial entre des bibliothèques publiques et une entreprise multimilliardaire crée un malaise au sein des cégeps et dans l’industrie québécoise du livre, qui souffre de la concurrence du géant américain. »

Pour poursuivre la lecture de cet article paru initialement dans Le Devoir, le 23 février dernier sous la plume de Marco Fortier : Amazon

Pour lire les autres articles liés à ce dossier: Le malaise Amazon persiste dans les bibliothèques des cégeps

Au Québec, des bibliothèques renvoient les usagers vers Amazon

Pour relire notre proposition votée à l’Assemblée Générale du 21 mars dernier: Point 7 


La faillite de la FATA : une petite brèche dans le mur

par Robin Dick, conseiller aux dossiers syndicaux

C’est en préparant les chèques à envoyer aux divers organismes à but social soutenus par le SEECLG que Claudia, notre technicienne, a récemment découvert que la FATA (Fondation pour l’aide aux travailleuses et travailleurs accidentés), avait fait faillite l’automne passé. Une petite tragédie, passée largement inaperçue, mais qui a peut-être une importance symbolique bien au-delà de l’impact négatif immédiat qu’elle a eu sur  les quelques 125 personnes qui ont dû se tourner vers des services privés pour se défendre à la suite de cette fermeture.

Pour lire la suite de cet article: FATA


L’environnement au collège, le CACE y voit!

Par Philippe Bélanger Roy, enseignant siégeant sur le CACE

L’environnement et l’aménagement durable ça vous branche? Vous voulez vous impliquer pour verdir et améliorer notre environnement de travail? Le CACE (Comité d’Action et de concertation en environnement) est là pour vous aider!

Né en 2010 aux suites de l’adoption d’une politique environnementale institutionnelle, le CACE est un comité paritaire ayant pour mandat de conseiller la Direction générale dans l’application de mesures touchant de près la qualité de l’environnement. Au CACE, nous priorisons les actions à mettre en œuvre, lesquelles relèvent du Plan stratégique du collège. À chaque année, deux enseignants sont élus en Assemblée générale pour y siéger aux côtés de membres de la direction et de professionnels.

Pour poursuivre la lecture de cet article: De vive voix_CACE


Révision du programme de Sciences de la nature

Par Judith Trudeau

La première fois que j’ai compris l’ampleur de cette révision, c’était au regroupement cégep de mars dernier, à Québec. Michel Milot, ancien président du SEECLG et maintenant coordonnateur au regroupement cégep présentait aux RAR (représentantEs au regroupement) la dite révision, ses possibles répercussions sur les disciplines et enseignantEs et le moratoire. Beaucoup d’informations pour des non-initiéEs. Dans un enthousiasme non-calculé, j’avais applaudi au moratoire pour laisser plus de temps à tous les acteurs du milieu de se concerter sur la meilleure avenue pour ce programme. Naïveté crasse, j’ai même photographié l’entête du moratoire pour le placarder sur la page facebook du SEECLG. Dans ma tête, on demandait du temps, point barre et tous mes collègues en bénéficieraient.

Fail, comme on dit en bon français.

Une révision de programme, pour ceux et celles qui en ont vécu, est un déchirement qui laisse des traces. + de telles compétences, moins de telles autres, ajout de nouvelles compétences, dénonciation de l’approche par compétences, transdisciplinarité, med (mise en disponibilité), révision à coûts nuls. Coûts nuls peut-être d’un point de vue ministériel mais coûts humains et climat de travail pourri à l’intérieur de nos murs.

L’idée derrière le moratoire est que le déchirement ne soit pas au niveau local. Le plan d’action proposé par la FNEEQ (qui inclut le moratoire) demande aussi et peut-être surtout, que le DEC demeure le même partout sur le territoire du Québec. Pas le même dans le sens de statu quo, le même dans le sens d’équivalence. Que nos étudiantEs qui étudieront à Carleton-sur-mer aient les mêmes acquis que les nôtres, à Lionel-Groulx.

Ce plan d’action a été voté unanimement au regroupement. Puis, il a percolé dans les différentes Cégeps. Certains Cégeps ont voté contre. D’autres, qui avaient déjà soumis leurs inquiétudes envers la révision, ont voté plus que oui. D’autres encore, comme chez nous, ont choisi une mouture plus sobre en faisant adopter une proposition qui embrasse le premier volet du plan d’action :

Il est proposé que

Le SEECLG soutienne la démarche du programme de Sciences nature quant à la demande d’un moratoire national sur la consultation, l’autorisation et l’implantation  du programme d’études révisé afin de permettre :

– à toutes les personnes et les collectifs concernés, notamment les départements et les comités de programme, de faire les analyses nécessaires à leur pleine participation à la consultation organisée par le ministère, incluant la difficile adéquation entre les compétences énoncées et les cours;

– au ministère de tenir compte des avis obtenus lors de la consultation;

– et, éventuellement, de faire le travail local qu’imposera la révision du programme.

Ma naïveté première ne me trompait pas. Oui, il faut plus de temps pour tous et toutes. Mais dieu qu’il faut adopter un profil bas pour ne pas heurter personnes. Certains et certaines gagnent dans cette révision anticipée. Et le SEECLG se bat pour tous ses membres. Je voulais le réitérer par le biais de ce papier. À tous nos collègues d’informatique, de biologie, de mathématiques, de physique et de chimie, tentons d’élever le débat au-dessus de la mêlée. L’entre-déchirement n’aidera personne.

+ de temps pour faire les travaux. Réitérer que le DEC doit être national. Et prendre les décisions qui s’imposeront. Dans le respect de tous et toutes.


«Goût amer dans un alphabet près de chez nous»[1]

Par Judith Trudeau

L’entretien d’avril ne se fera pas avec unE membre mais relatera une situation.

Admettons que dans une classe X, un étudiant Y ne respecte pas les consignes données par un professeur Z. Des consignes normales dans un cadre scolaire : ne pas dormir en classe, ne pas jouer sur son cellulaire, ne pas parler en même temps que le prof, ne pas bousiller l’ambiance propice à  l’apprentissage. Ces consignes ont été données au jour 1 dans le plan de cours.

[1] Ce texte n’engage que son auteure.

Pour poursuivre la lecture de cet article : Goût amer


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Bilan de mi-parcours du plan stratégique… La consultation, toujours une bonne idée. Le télévoteur… outil qui ne favorise peut-être pas la discussion.

 


ÉGES (États généraux de l’enseignement supérieur), la voix des Laurentides

 

 


Immense merci aux organisateurs et acteurs de Nos talents cachés. 

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À la soupe!

 

 


À venir:

  • 11 avril : Assemblée générale au D-415 à partir de 12h (lunch)
  • 12 et 13 avril : Regroupement cégep à Montréal
  • 17 avril : CRT
  • 18 avril : Réunion de départements
  • 19 avril : ACCDP et 6 à 9 «de la  Fourche à la Fourchette» aux serres de Sainte-Scholastique 
  • 24 avril: Conseil d’administration
  • 25 avril : Défi Lionel
  • 2 au 5 mai : ÉGES au niveau national (Montréal)
  • 3 mai : Commission des études
  • 9 mai : Comité de programme
  • 10 et 11 mai : Regroupement cégep à Montréal
  • 16 mai : Épreuve uniforme de français