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Dépôt de nos demandes aux tables centrale et sectorielle le 30 octobre dernier, Conseil du trésor, Québec.

« S’unir. Agir. Gagner. »

Par Denis Paquin

Le slogan de la CSN donne matière à réfléchir dans le contexte du renouvellement de notre convention collective.

La CSN unie et solidaire

Le 30 octobre dernier, la CSN a déposé son cahier de demandes à la table centrale incarnant l’union de ses fédérations autour de certains grands principes mobilisateurs : favoriser les bas salariés et améliorer à la fois les salaires et les conditions de travail.

Les demandes salariales demandées traduisent ces principes. Nous revendiquons ainsi une hausse de 3$ pour la première année, puis 3% pour chacune des deux autres années de la convention collective (ou 1$, selon la formule la plus avantageuse). Ces hausses correspondent à près de 25% pour les bas salariés, contre 12% pour les « hauts » salariés. Nous réclamons aussi l’amélioration de nos conditions de travail dans le cadre de nos demandes sectorielles.

Pour poursuivre la lecture de ce texte :«S’unir. Agir. Gagner.» (1)


Vous avez ratéEs la présentation, lors de l’Assemblée générale du 23 octobre, des tenants et aboutissants de l’enseignement à distance? Voici le power point structurant la présentation. Un seul mot à retenir : vigilance!

Enseignement à distance (EAD) 


Processus de «développement» des programmes techniques

Lors de la Commission des études extraordinaire du 24 octobre, Philippe Nasr, directeur des études, nous a présenté le processus de développement des programmes qui passe par une évaluation et une révision des programmes existants. Voici le power point présenté. Il va sans dire que ce processus a connu certaines failles dans l’évaluation des programmes de Bureautique, Gestion de commerce, Comptabilité et gestion et Techniques de l’administration.

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Photo prise la veille, lors de l’Assemblée générale du 23 octobre. Nous voyons ici Josée Rouleau coordonnatrice de Bureautique et Marie-Claude Couture coordonnatrice de TAD.

Processus de développement de programmes d’études techniques


Suites dans les révisions de programmes Gestion de commerces, Comptabilité et gestion et Bureautique

Au regroupement des 14 et 15 novembre, la FNEEQ a adopté un plan d’action pour la première phase de la révision de ces programmes.

Vous trouverez le document en cliquant ici.


Dossier fait par la Gazette des femmes

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Octobre, le mois de l’histoire des femmes


La valeur du travail des femmes

Par Claire Dumouchel, professeure en psychologie

L’actualité des dernières semaines me fait beaucoup réfléchir sur la valeur qu’on porte comme société sur le travail des femmes. Je pense à la loi 21 sur la prétendue laïcité, le salaire toujours dérisoire des éducatrices à l’enfance et, plus récemment, la remise en question de la place des programmes Bureautique, Gestion de commerces et Comptabilité de gestion.

Nos techniques collégiales, incluant au Cégep Lionel-Groulx, sont très séparées selon le genre. Je n’apprends rien à nos collègues de l’enseignement technique, mais je tiens à la préciser pour l’ensemble de nos collègues. Techniques administratives est une des rares exceptions où les cohortes sont plutôt mixtes. Mais dans d’autres techniques comme bureautique, la majorité des étudiant.e.s sont des femmes, quand ce n’est pas la totalité. Et si on remet en question ces études techniques, on envoie plusieurs jeunes filles vers le DEP. Et on les précarise davantage.

Pour poursuivre la lecture de cet article : travail_femmes_CDumouchel


Communiqué de la FNEEQ en lien avec l’accès  au Programme d’expérience québécoise (PEQ)

Montréal, le 5 novembre 2019 – La Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) dénonce la décision du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Inclusion (MIFI) de restreindre l’accès au Programme d’expérience québécoise (PEQ) à une liste de programmes d’études ciblés. Pour la Fédération, l’adéquation très étroite avec le marché de l’emploi que l’on retrouve en filigrane de cette décision est symptomatique d’une vision biaisée de l’enseignement supérieur au Québec.

Pour poursuivre la lecture de ce communiqué : Communiqué PEQ


Rencontre avec les nouveaux enseignants : briser les cloisons

Par Étienne Gendron

Entrer dans l’enseignement n’est pas une mince affaire, en dépit du grand sentiment de satisfaction que la profession peut nous offrir. Le chemin à emprunter est jonché de défis et d’obstacles : premières préparations, angoisses face aux évaluations, confrontation avec nos limites, précarité d’emploi. Au cours de ce voyage, nous apprenons à nous appuyer sur nos collègues, et sur notre département, mais bien souvent notre regard reste rivé sur un horizon de plus en plus étroit. Pour plusieurs d’entre nous, notre lieu de travail se réduit à un bureau, à des couloirs, aux quelques locaux dans lesquels nous offrons nos cours. Cela peut avoir pour effet de nous isoler lorsque surviennent des problématiques sur la tâche, sur notre santé, sur nos assurances. Vers qui se tourner alors lorsque le vent se lève ?

Le dîner syndical organisé par le SEECLG à l’intention des nouveaux enseignants a pour vocation non seulement de répondre à cette question, mais aussi de briser l’isolement en partageant avec nos collègues de différentes provenances notre vécu, nos appréhensions, nos questionnements. Cette année, l’événement a rassemblé environ 12 enseignants, certains fraîchement engagés, d’autres plus aguerris mais tous soucieux de mieux connaître leur profession, leur contrat de travail, et leur syndicat. À la suite de la présentation de dix précieux conseils de notre collègue Julie Cauchy, nos invités ont pu s’engager dans un jeu questionnaire qui offrit une belle opportunité d’échanger sur la tâche, la disponibilité, l’ancienneté et j’en passe. Le tout, conclu par un tirage et quelques conversations spontanées dans la bonne humeur.

Chaque année, le SEECLG tend la main à ses membres, qu’ils soient riches de l’expérience de quelques sessions ou en train de faire leurs premières armes dans la profession. Notre porte demeure ouverte en tout temps et nous espérons avoir la chance de vous compter parmi nos invités lors de notre prochain dîner d’accueil !

Solidarité (et convivialité) !


Volet environnement et saga du calendrier…

Lors de la CÉ extraordinaire du 24 octobre, les membres ont décidé collectivement de ne pas recommander la version soumise car nous sentions un raidissement entre la Direction et les étudiantEs. Il nous apparaissait qu’il fallait rétablir un certain dialogue avant de travailler sur une version commune. (Ce qui fut fait le 7 novembre dernier). Je tenais à vous soumettre le texte de Yanick Binet, professeur de philosophie, livré lors de cette CÉ. Bonne lecture!

PRÉSENTATION D’UN DILEMME CÉ


Volet environnement

Le CACE a trouvé une liste de fournisseurs écoresponsables + un marché de Noël approuvé par Dame nature. Je vous retransmets ces deux trouvailles! Aussi, ce midi 20 novembre au Kafé étudiant, aura lieu une conférence sur la permaculture. Au plaisir de vous y voir!


Rendez-vous des sciences humaines, suite.

Lors du dernier rendez-vous des Sciences humaines, les 28-29 et 30 octobre derniers, nous avons eu la chance d’accueillir en nos murs, Gilles Labelle, professeur de sciences politique à l’Université d’Ottawa. Sa conférence avait pour but de circonscrire les grands traits de notre époque moderne. À travers deux pôles : l’effectivité de la chrématistique et le supplément d’âme lié à l’indignation morale (renouvelée à notre époque par les médias sociaux), l’auteur nous amènera à réfléchir à ce monde qui reproduit, ad nauseam, les conditions de l’inégalité structurelle entre les humains.

Bonne lecture!

« Dans quelle société vivons-nous? »

Par Gilles Labelle, professeur émérite, Université d’Ottawa

« Dans quelle société vivons-nous? ». Je ne pense évidemment pas qu’il soit possible de répondre à pareille question de façon exhaustive en quelques pages; il faut par définition se contenter d’une esquisse, tracée à gros traits, qui laisse forcément de côté un ensemble de questions importantes.

Il faudrait d’abord s’interroger : de quelle société parlons-nous? Est-ce qu’on se situe au niveau mondial, continental, national, local? De quelle époque est-il question? En outre, il importerait aussi de se demander ce que l’on entend par « société », d’autant que des sociologues vont jusqu’à parler d’un « oubli de la société » voire d’une « fin de la société » (Michel Freitag, Stéphane Vibert).

Mais je laisse délibérément de côté ces questions, en me permettant de reformuler la question qui nous est posée de cette façon : quels sont les principaux traits qui conditionnent ou qui déterminent notre situation actuellement? « Notre situation » : c’est-à-dire celle d’individus ou de citoyens habitant un pays dit « développé », c’est-à-dire fondé sur ce qu’on s’entend à désigner comme « démocratie libérale de marché ».

Je défendrai ici la thèse que deux traits, principalement, caractérisent notre situation présentement, c’est-à-dire conditionnent ou déterminent l’état dans lequel nous nous trouvons.

Pour poursuivre la lecture de ce texte : Dans quelle société vivons-nous Texte


29-30 octobre, Comité de coordination des services public et parapublic (CCSPP) et Regroupement Cégep.

 

 

5 à 7 d’Halloween organisé par le département de biologie!

Portes ouvertes le 13 novembre dernier

Regroupement Cégep les 14 et 15 novembre où nous avons abordé la première vague de consultation négo!

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À venir :

20 novembre : Atelier de consultation, plan stratégique

20 novembre : «Qu’est-ce que la permaculture»? 12 h, Kafé étudiant

26 novembre : Conseil d’administration

27 novembre : Assemblée générale, 12 h (dîner), salle stratégique.

4-5-6 décembre : Conseil fédéral à Montréal

17 décembre : fin des cours

19 décembre : Commission des études (CÉ)

25 décembre et 1er janvier : jours fériés

31 décembre : Date souhaitée par la direction pour remettre les notes (sous réserve d’une entente avec le syndicat)

2 janvier : Date conventionnée de dépôt des notes.