

Le temps de signer…Ici et ailleurs 😉
Il est temps de signer version Lionel-Groulx




L’accompagnement professionnel des nouveaux professeurs
Par Joan Sébastien Morales, secrétaire du SEECLG

Le comité paritaire d’insertion professionnelle et suivi de l’évaluation administrative a repris ses travaux l’automne dernier après plusieurs années de silence radio. Je ne suis pas peu fier d’en faire partie, car l’accueil du nouveau et de la nouvelle m’a toujours semblé être de la plus haute importance. Qui n’a pas nombre d’histoires à raconter au sujet de ses balbutiements au Collège? Je pourrais vous parler longuement de mes débuts. Pour préparer mes cours, je n’avais bien souvent qu’un titre et une courte liste d’objectifs (si si à l’époque c’était des objectifs). Et encore, m’a-t-on dit de ne pas trop m’y fier, car le programme était obsolète. Il va sans dire que mes premiers cours furent désastreux. J’apprenais souvent la matière la veille. J’étais en mode survie. Je n’avais ni expérience ni diplôme en pédagogie. C’est une évidence, les premières années d’enseignement sont difficiles. Il faut s’accrocher solidement pendant la tempête et patienter. Ça prend la foi en quelque chose pour croire en un futur calme et ensoleillé. Mon département m’a soutenu du mieux qu’il pouvait avec les moyens qu’il avait. J’aurais aimé avoir un support constant, mieux organisé.
L’insertion de l’apprenti dans l’écosystème Lionesque est complexe et comporte multiples facettes. La logistique matérielle (les clés, l’ordinateur, la vignette, la carte d’employé, le bureau, etc.) est un chemin de croix bien souvent parcouru par les coordonnateurs. Or cela ne devrait pas être leur fardeau. Une introduction aux sources d’informations et aux outils de communication (CLG à la une, Dépêche CLG, Teams, c.Lionel, intranet, Colnet, paie.net, alouette!) est essentielle. D’ailleurs s’il y a une formation à ce sujet pour s’y retrouver, ça m’intéresse. Le département joue un rôle clé dans l’intégration des nouvelles pousses. Il faut outiller les départements et les supporter. Ajoutons à la longue liste : les mesures d’urgence, les politiques, les règlements, le SAIDE, les APIs, la reprographie, la bibliothèque, l’audio-visuelle, etc. Oserais-je oublier le syndicat? Vulgariser notre convention collective, par bouts rédigée en elfique de la Terre du Milieu, est notre devoir afin d’informer les enseignantes et les enseignants de leurs droits et responsabilités.
Le comité réfléchit aussi à l’évaluation administrative qui devrait s’insérer dans une suite logique où le novice est informé et préparé par des évaluations qui ne comptent pas. Le droit à l’erreur et la possibilité de s’amender sont obligés, surtout lorsque l’on mesure la complexité de notre métier.
Les travaux avancent tranquillement, mais surement. La coopération est au rendez-vous. Au-delà de la rédaction fastidieuse de politiques et de guides d’application, je souhaite que l’on vienne en soutien aux débutants dès maintenant. Quitte à être imparfait, quitte à se tromper. Cela sera nécessairement mieux que ce qui se faisait avant, c’est-à-dire pas grand-chose. Gardons le contact, créons des liens, offrons des espaces de partage et de discussion et soyons à l’écoute de leurs besoins. Souhaitons que le comité demeure vivant, productif et permanent, que notre plan d’insertion soit cohérent, varié, bienveillant et humain.
La question se pose : quand l’insertion se termine-t-elle? Peut-on considérer un jour un professeur complètement « inséré »? Le mot m’apparait mal choisi. Je propose d’utiliser le terme « accompagnement ». Nous pourrions même envisager un plan d’accompagnement tout au long d’une carrière qui comporte parfois des passages à vide. Le terreau collégial offre une pléthore de possibilités d’accomplissements professionnels. Je pense à la coordination de département, aux instances, aux nombreux comités, aux projets pédagogiques, à la recherche, au perfectionnement, à l’implication syndicale et, pourquoi pas, à l’accompagnement professionnel des nouveaux professeurs.
Des ressources EESH, que dit la FNEEQ?
Les faits saillants de la CÉ du 27 janvier 2022
Par Geneviève Fortin, vice-présidente du SEECLG

C’est à distance que s‘est déroulée la première Commission des études 2022. C’est donc sur Zoom que nous avons échangé nos souhaits de bonne année. Étant donné que nous avions un ordre du jour chargé, il n’y avait pas de réussite CLG à présenter pour une 2e CÉ consécutive.
Tout d’abord, la CÉ a reçu Dominique L’Abbé pour présenter le nouveau programme Production scénique (anciennement Théâtre production) avec 2 voies de sortie (costumes et technique éclairage, son). Ce nouveau programme compte 235 heures de moins que l’ancien et n’a pas de tronc commun, l’étudiant commence tout de suite son parcours dans son champ de spécialisation. Des points particulièrement intéressants : l’intégration du numérique, des PFI communes à plusieurs cours et un projet intégrateur par année pour bien refléter les réalités du marché du travail.
Ensuite, c’est au tour de Patricia Mariette de présenter le descriptif et la grille de cours du nouveau programme de Gestion des opérations et de la chaîne logistique (anciennement logistique du transport). Pour favoriser la persévérance scolaire, on propose une structure du programme segmenté qui permet à l’étudiant d’obtenir une attestation à la fin de chaque année. L’ajout d’un cours de logistique humanitaire est souligné par plusieurs membres de la CÉ.
On passe ensuite au dossier PIEA… Et on s’interroge sur le changement de porteur du 3e dossier sur le processus de plaintes que devait être coordonné par Sandrina Joseph. Philippe Nasr explique qu’en attendant la nomination d’un DAÉ au cheminement scolaire, il réaménage le partage des dossiers. C’est donc Édith Joyal qui nous présente un laborieux Prezi sur le processus de signalement et d’appel des plaintes. Ce n’est que le début d’un dossier qui s’annonce épineux.
Pour le point d’information, il est question des compétences du nouveau programme « Gestion des organisations » qui réunira TAD et Bureautique. L’absence de marketing dans les compétences obligatoires préoccupe des membres de la CÉ même si la direction des études se veut rassurante en mentionnant la latitude que nous avons localement. L’implantation de ce programme doit se faire au plus tard à l’automne 2026.
Et finalement, après avoir généreusement préparé sa relève tout au long de la session d’automne, Judith Trudeau a quitté son poste de secrétaire à la CÉ (soyez rassuré, elle reste membre de la CÉ). Je prends donc la relève au secrétariat pour le reste de l’année scolaire en cours.
Prochaine CÉ, le jeudi 24 février.
Conseil d’administration
Par Aude Lacasse, enseignante en économie

Le 15 février dernier a eu lieu le 557e conseil d’administration du collège. Les éléments à retenir outre l’adoption des descriptifs de programme de Gestion des opérations et de la chaîne logistique, Production scénique, Interprétation théâtrale et Arts, lettres et communications (félicitations aux enseignants de ces programmes!), sont la modification du Règlement sur les frais exigibles aux étudiants du Collège Lionel-Groulx (2022-2023) et la présentation du budget révisé.
Le conseil d’administration s’est prononcé en faveur d’une majoration de 3,4% des frais exigibles aux étudiants pour l’année 2022-2023. Concrètement cela représentera une augmentation de 4,50$ de la facture. La hausse des frais suit généralement l’inflation. À noter que pour l’exercice courant les frais ont été gelés.
Pour l’exercice budgétaire se terminant le 30 juin 2022, un surplus du budget révisé de 427 191$ est constaté. Celui-ci s’explique principalement par des postes non comblés (Soutien, Professionnels et cadres).
Mesures d’aide pour étudiants à besoins particuliers, quelles sont nos obligations?
Par Geneviève Fortin, vice-présidente du SEECLG

Ce n’est pas nouveau, nous avons des d’étudiants à besoins particuliers (EBP) au collège. Que ce soit pour des troubles d’apprentissage ou des problèmes de santé mentale, ils sont de plus en plus nombreux à recevoir le soutien du SAIDE qui nous transmet dans colnet la fameuse liste des mesures d’aide à offrir à l’étudiant pour l’aider dans sa réussite.
Il y a les demandes plus classiques comme l’octroi du temps supplémentaire (20 %, 33 %, 50 %) et le preneur de notes. Mais il y a aussi d’autres mesures telles que l’enregistrement du cours, les notes de cours fournies à l’avance, l’ordinateur avec correcteur, l’écoute de musique, le besoin de petites pauses, les exposés oraux individuels ou en petit groupe, un objet à manipuler… Et j’en passe!
Devant ces demandes, voire ces exigences, qui se multiplient, sommes-nous dans l’obligation de s’y conformer et de dire oui à tout? Évidemment, la réponse est non! Il y a des mesures qui sont moins appropriées à certains cours et d’autres qui vont à l’encontre des critères d’évaluation qui sont prévus au plan de cours. Certaines mesures plus intrusives comme l’enregistrement du cours vous rendent inconfortables? Vous n’êtes pas en mesure de fournir vos notes de cours à l’avance? Rien ne nous y oblige, vous pouvez proposer une alternative comme le preneur de notes.
En tant que prof, nous sommes à même de choisir les mesures pertinentes et adaptées à notre cours. De plus, assurez-vous que les accommodements accordés ne se transformeront pas en surcharge de travail pour vous. Même si nous souhaitons tous la réussite de nos étudiants, soyons bienveillants envers nous!
Petite réflexion après 27 ans de carrière au CLG
Par Robin Dick, Professeur d’anglais
Je suis arrivé au Collège pour mon entrevue d’emploi un vendredi après-midi en novembre 1994. J’avais 37 ans, ayant déjà travaillé sept ans comme enseignant d’anglais langue seconde dans des écoles secondaires privées au Québec, mais sans contrat pour l’automne 1994, donc survivant de peine et de misère, avec plusieurs personnes à charge à la maison. En entrant dans la rotonde à l’entrée principale pour la première fois, j’avais une très forte impression d’être enfin arrivé chez moi. Et quelques jours plus tard, mon rêve est devenu réalité : je commençais à temps plein en janvier !
La coordonnatrice s’excusait d’être obligée de me donner trois préparations pour ma première session. Je riais ; elle ne savait pas que l’année précédente j’avais eu pas moins que sept préparations, en plus de surveiller la cour de récréation à la recherche de fumeurs cachés. Sans parler des défis disciplinaires, des relations parfois compliquées avec les parents et les membres de la direction, des exigences ministérielles, la manque d’espace, et les mille autres microsouffrances qui allaient de pair avec l’enseignement au secondaire, pour moi du moins.
C’est donc comme en recevant une bouffée d’air frais que j’ai commencé ma carrière au CLG. Et honnêtement, je peux dire que ma dernière session, 27 ans plus tard, a été aussi agréable que ma première. Plus détendu, certes, car je n’avais plus rien à prouver. Et c’est vrai qu’avoir la fin en vue confère une certaine sérénité à tout ce qu’on fait.
Alors c’est quoi le secret d’une longue carrière heureuse dans l’enseignement collégial ? Je reconnais que cela doit dépendre de plusieurs facteurs et que je ne pourrais pas répondre pour tout le monde. Un enseignant passionné de science politique ou de mathématique, par exemple, doit être heureux tant que la flamme de la passion reste allumée. Pour moi, qui suis tombé dans l’enseignement d’anglais langue seconde un peu par hasard, je ne pourrais donc pas parler de passion (à part les cours de linguistique, ma véritable passion). Non, dans mon cas, c’est plutôt la curiosité, le désir incorrigible de sortir de ma zone de confort, le plaisir de travailler avec d’autres et le privilège d’être témoin de la découverte chez certaines jeunes personnes qui m’ont animé pendant 27 ans.
J’ai découvert assez vite qu’une grosse boite comme un cégep offre de nombreuses possibilités d’expériences variées et intéressantes à ceux et celles qui sont disposé.e.s à les vivre. Curieusement, ce qui a facilité beaucoup mon intégration dès ma première session, c’est que j’ai commencé à jouer au tennis de table le midi avec les employés d’entretien (en fait, je ne me souviens pas comment j’ai trouvé le temps–j’avais six cours !) C’est des liens amicaux précieux qui sont restés longtemps après que j’ai perdu l’habitude de jouer avec eux.
Au département de langues, l’ignorance étonnante de la réalité syndicale qui y régnait m’a poussé à participer à l’exécutif syndical pendant trois ans, une expérience que j’ai reprise vers la fin de ma carrière pour d’autres raisons. J’ai également assumé la coordination du département à deux reprises, une fois seul et quelques années plus tard avec Lise Ste-Marie. Pendant mes mandats comme coordonnateur, on a démarré le centre d’aide en anglais, on a accueilli RASCALS (le congrès provincial annuel des profs d’anglais langue seconde) et on a initié la tradition des voyages à l’étranger pour les étudiant.e.s en langues modernes. J’ai donc pu voyager à Cuba, en Italie et à New York dans le cadre de mes fonctions, des aventures inoubliables !

Pendant ces 27 ans, j’ai siégé sur plein de comités et, je l’espère, fait une petite contribution à la richesse de la vie collégiale. Ce n’est pas toujours évident passer des heures à discuter avec des collègues autour d’une table, car qui sait d’avance ce que ça va donner concrètement ? Combien de rapports s’empilent et finissent par ramasser de la poussière ? La plupart probablement. Mais on apprend à se connaître à travers le processus, on tisse des liens, et nos perceptions deviennent plus nuancées : ce n’est pas rien.

Mais le coeur de la vie de tout enseignant c’est sans doute la pédagogie. Or, on connait tous des enseignant.e.s qui aiment donner les mêmes cours année après année. Je les comprends ; c’est sécurisant—on perfectionne le cours à l’infini et on finit par le connaître par coeur ; les étudiant.e.s bénéficient donc d’un enseignement bien huilé. Pour ma part, ma plus grande peur a toujours été de m’ennuyer dans mes propres cours. Je ne sais toujours pas si c’est égoïste de penser ainsi, mais ça provient, je pense, d’une profonde conviction que l’éducation doit être un peu déstabilisant, et pour les étudiant.e.s et pour les profs. C’est pourquoi j’acceptais volontiers les cours « orphelin » qui exigeaient une adaptation pédagogique ou des approfondissements de connaissances souvent majeurs.
Tenter des expériences nouvelles, en pédagogie comme dans n’importe quel autre domaine, comporte toujours le risque d’échec. Mon côté téflon m’a, bien heureusement, protégé contre la tendance, trop courant chez les profs à mon avis, de voir l’échec d’une expérience pédagogique comme une défaite personnelle. L’échec n’est qu’une invitation à l’amélioration finalement. Comme dit G.K. Chesterton, « Si ça vaut la peine d’être fait, ça vaut la peine d’être mal fait ! » Autrement dit, ce n’est qu’en acceptant de faire des erreurs qu’on se perfectionne. Ceux et celles qui ont fait l’expérience de l’apprentissage d’une langue étrangère savent bien qu’apprendre passe nécessairement par une série d’erreurs plus ou moins inévitables ; le secret du succès se trouve dans l’observation attentive, la patience avec soi-même et la persistance. Pourquoi ce ne serait pas vrai dans l’enseignement ?
Pour conclure, je vous fais une petite confession. Depuis 20 ans je vis avec un problème de de surdité qui a fini par avoir un profond impact sur mon style d’enseignement. Au début de ma carrière j’avais énormément de plaisir à interagir spontanément avec les étudiant.e.s en classe ; je me sentais proche d’eux et, je crois, le sentiment était partagé. Progressivement, j’ai dû assumer un autre rôle en classe : en plus de faire plus d’enseignement magistral, je suis devenu davantage « donneur de consignes », demandant plus souvent que les étudiants travaillent en petits groupes. Et j’ai pris l’habitude de signaler dès le début de la session qu’ils avaient à faire avec un prof qui, en plénière du moins, se trouvait en situation d’handicap. J’étais toujours touché par leur compréhension, par leur patience avec moi quand je leur demandais de répéter ou de parler plus fort. Alors, même si je n’étais plus le prof que j’avais déjà été, j’ai réussi à trouver une façon de faire qui m’a permis d’avoir du plaisir jusqu’à la fin. J’aime bien l’expression « être en situation d’handicap ». Peu importe les faiblesses qui nous habitent, on n’est pas nécessairement hanté par leur présence dans tous les domaines de la vie. En vieillissant, je constate que ces « situations » continuent tranquillement de se multiplier, mais qu’ils continueront, je l’espère du moins, à être des invitations à l’approfondissement jusqu’au bout.

8 mars, Journée des droits des femmes

Pour le Conseil central des Laurentides
Bonjour à toutes et à tous,
Dans le cadre des activités entourant la Journée internationale des droits des femmes, le comité des femmes du STTCSN et la condition féminine de la CSN vous invitent à une :
Conférence virtuelle « Vigilance en milieu de travail pour un avenir féministe »
le mardi 1er mars 2022 de 18 heures à 19 h 30
Événement pour les salarié-es, les élu-es du mouvement CSN ainsi que les membres intéressé-es des syndicats CSN de toutes les régions du Québec. Ouvert à toutes et tous!
Nos invitées | |
Hélène Langevin, directrice générale de la Maison Simonne-Monet-Chartrand, elle nous entretiendra sur les outils pour repérer les signes de violence conjugale ou familiale présents dans nos milieux de travail. | |
Catherine Éthier, chroniqueuse, auteure et rédactrice en chef au verbe festif et fière marraine du Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale. Nous pourrons écouter ses réflexions habilement exprimées sur le sujet. |
Pour partager l’événement, cliquez sur : https://bit.ly/3Bqy27R
Pour vous connecter directement à l’événement : https://us02web.zoom.us/j/86838679003?pwd=dDJncW83T0V5MTh2ZUJEMXZHUTZMQT09
ID de réunion : 868 3867 9003
Code secret : 710602
Eric Céré
Secrétaire-Trésorier
Conseil Central des Laurentides – CSN
(450) 438-4197
Volet environnement
«Nous vous invitons à vous assurer que vos syndicats, quels qu’ils soient, débattent de la proposition. Vous trouverez sur notre tout nouveau site des conseils pour vous accompagner dans cette démarche (le site n’est pas encore entièrement fonctionnel, mais nos membres y travaillent): https://justiceclimatique.org/je-passe-a-laction/campagnes/voterlagreve/
Solidairement,
Le comité grève
Travailleuses et Travailleurs pour la Justice Climatique»

10 ans après…que vous inspire cette photo?
Par Judith Trudeau, responsable aux dossiers syndicaux
Appel de textes, de témoignages (signé ou anonyme) et de photos. Nous voulons faire un spécial DVV 10 ans après le printemps érable. Que reste-t-il de ce moment catharsis? Que vous inspire, 10 ans après, cette lutte étudiante? Que reste-t-il des acteurs qui y étaient? Les étudiant.es ont-ils changé? Vous, avez-vous changé? Le collège a t-il changé? Que vous inspire ce moment bien particulier, après deux jours d’injonction où la force policière s’est invitée chez nous, à Lionel-Groulx, bousculant nos repères voire sapant notre identité? À vos plumes, vos souvenirs, votre analyse.
Date limite pour envoyer vos textes : 1ier mai 2022
Adresse : seeclg@gmail.com
À venir…
23 février midi : activité «Il est temps de signer!»
23 février : Assemblée générale en présence, 12h30 au D-415
24 février : Commission des études
24 février : Instance conjointe (CCSPP)
25 février : Regroupement Cégep
28 février au 4 mars : Semaine de mise à niveau
8 mars : Journée des droits des femmes
6 avril : accueil des nouveaux professeur.es