C’est zéro!
Pour accéder à la version vidéo de notre «note» au dépôt patronal, cliquez sur le lien suivant: Le dépôt patronal, c’est zéro!
Pour lire, par vous même, le dépôt patronal : 2019-12-16 Négo 2020_Dépôt sectoriel CPNC
Pour être un peu plus crinquéE en lisant le mémo de la Fédération des cégeps : Mémo de la Fédération des cégeps
Derrière les sourires…
Par Judith Trudeau
Lors de la dernière AG du 22 janvier, tout de suite après la présentation des grandes lignes du dépôt patronal, une voix en fond de salle s’est élevée pour demander : « Et qu’en pensent nos patrons? Derrière leurs beaux sourires, que pensent-ils des demandes patronales? » Prenant la balle au bond, j’ai proposé une entrevue dans le DVV. Ainsi, si Michel Louis Beauchamp et Philippe Nasr se sont montrés ouverts à la discussion, le sujet proposé n’a pas été retenu. « Nous pourrions parler de l’avenir de notre collège qui est un sujet tout aussi intéressant et pertinent. » Certes. Mais en temps de négo, il est l’heure de se recentrer sur les différentes demandes de part et d’autre. Je vous propose donc, non pas une entrevue avec nos supérieurs, mais une analyse du dépôt patronal.
Pour poursuivre la lecture de cet article : Derrière les sourires
Par Aude Lacasse, enseignante en économie et présidente du SEECLG
Le 17 janvier dernier, la Fédération des cégeps diffusait un communiqué visant à réaffirmer le rôle important (du moins selon elle) que joue les établissements de son réseau face «aux défis auxquels le Québec est confronté, notamment en matière de pénurie de main-d’oeuvre qualifiée et de rehaussement de la productivité»[1] et à présenter le mémoire qu’elle a transmis au ministre des finances, M. Éric Girard. Dans ce mémoire la Fédération présente :«des solutions en lien principalement avec la réussite et la diplomation des étudiants, le rehaussement de la productivité du Québec et la réponse aux besoins du marché du travail».[2] Cette préoccupation de la Fédération pour la «productivité» se manifeste aussi dans une étude qu’elle a commandé à la firme KMPG et qui en arrive aux conclusions suivantes :«le taux de productivité des entreprises québécoises compte parmi les plus faibles au Canada. Un retard historique du Québec qui s’explique notamment par une déficience en matière de qualification de la main-d’œuvre».[3]
Bon, par où commencer? Plusieurs éléments dans ces quelques phrases de la Fédération des cégeps me choquent, et voici pourquoi.
Pour poursuivre la lecture de ce texte : Avoir 17 ans
Enseigner en 2020 en trois mots
Par Denis Paquin
J’ai envie de débuter cette réflexion sur notre profession par une anecdote. J’utilise depuis 2004 des questionnaires informatisés dans mon enseignement. Afin de rendre les exercices plus «vivants», j’y introduisais quelques choix de réponse drôles. En classe, on entendait les étudiants rire lorsqu’ils tombaient sur ces options. Ils comprenaient d’instinct qu’il s’agissait d’une farce. Mes étudiants me disaient souvent comment ils aimaient ces petites distractions. Progressivement, ils se sont toutefois mis à douter et à me demander s’il s’agissait d’une bonne réponse. Imaginez mon désarroi. On me demandait, à la question à quoi sert le PIB, si l’option de réponse «à m’acheter un costume d’Halloween» était une bonne réponse! «Ben non, voyons! C’est pour rire!» Je n’ose pas imaginer leur réaction si je leur avais répondu sèchement «BEN NON, voyons! C’est évident! »! À regret, j’ai renoncé à ces plaisanteries.
J’aimerais poursuivre ma réflexion à l’aide de trois mots traduisant mes impressions quant à certains changements affectant notre profession.
Pour poursuivre la lecture de ce texte : enseigner en 2020 en trois mots
Lundi matin, le roi, la reine et les précaires…
Par Judith Trudeau
Attention âmes sensibles, ceci est librement inspiré d’une histoire vraie
Admettons Z cours dans un département. J’entends, beaucoup de titres distincts. Admettons une gestion conservatrice d’ouverture de cours (ce qui en soi est préférable à une gestion trop enthousiaste qui oblige la fermeture de cours la session venue). Admettons que la haute direction semble sous-estimer la complexité d’un poste de coordination à l’organisation scolaire. Admettons la venue d’un nouveau cadre à ce poste. Vous avez les ingrédients idéaux pour générer l’anxiété des précaires. Dans cette histoire comme dans la vie, certains précaires jonglent avec des tâches dans plus d’un cégep.
Pour poursuivre la lecture de cet article : Lundi-matin
Question privilège
13 février 2020
Conseil Central des Laurentides
Contexte
Depuis quelques années, nous sommes, dans les collèges, aux prises avec des révisions de programmes qui se font à vitesse grand V. En effet, suite à une recommandation du Vérificateur général du Québec qui dénonçait la lenteur des travaux dans les révisions de programmes, le ministère a décidé, de son propre chef d’imposer une balise de 18 mois pour faire des révisions. Cette nouvelle balise temporelle efficace nous amène à penser que les nouvelles révisions se font au détriment de la rigueur des travaux, de la consultation des professeurEs et de la transparence du processus.
Pour suivre la lecture de cette question privilège : Question privilège
Infolettre FNEEQ
Volet environnement
Prêts pour la décroissance ?
«Travailler et consommer moins, pour réduire la taille de l’économie, produire moins de GES et sauver la planète : c’est l’idée derrière le mouvement de la décroissance, qui fait de plus en plus d’adeptes au Québec. Notre collaboratrice est allée à la rencontre de ces nouveaux révolutionnaires.»
UNE SEMAINE DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE JUSTE S’ORGANISE À LIONEL. Du 30 mars au 4 avril 2020
Des idées? Volonté de s’impliquer?
Contactez Julie Charron :
julie.charron@clg.qc.ca

Gazette des femmes sur le thème de l’écoféminisme
Site de déchets radioactifs à Chalk River
J’ai eu la chance d’assister à la présentation d’une biologiste venant exposer les risques liés à la construction d’un site d’enfouissement de déchets radioactifs. C’était au conseil central des Laurentides le 13 février dernier. Je vous invite à lire le topo et à visionner l’extrait de Découvertes qui en parle. Inquiétant…
Site de déchets radioactifs à Chalk River
Texte de la pétition
CONSIDÉRANT QUE par l’adoption à l’unanimité de la Loi sur l’équité salariale en 1996, l’Assemblée nationale du Québec reconnaissait l’importance du droit fondamental qu’est l’équité salariale;
CONSIDÉRANT QUE de nombreux employeurs n’ont toujours pas réalisé leurs obligations en matière d’équité salariale;
CONSIDÉRANT QUE près de 25 ans après l’adoption de la Loi, l’écart salarial horaire moyen entre les femmes et les hommes demeure au-dessus des 10 %;
CONSIDÉRANT QUE malgré les deux dernières révisions à la Loi, des problèmes de fonds subsistent et portent encore préjudice aux femmes qui ont porté plainte en 2010 et 2015;
CONSIDÉRANT QUE l’arrêt de la Cour suprême de 2018 confirme l’inconstitutionnalité d’articles relatifs à l’évaluation du maintien et à la correction des écarts salariaux;
CONSIDÉRANT QUE l’ajustement salarial découlant des obligations de la Loi doit s’appliquer rétroactivement à la date de l’évènement discriminatoire;
Nous, soussignés, demandons au gouvernement du Québec :
- De procéder dans les meilleurs délais à une révision de la Loi sur l’équité salariale;
- De verser rétroactivement à la date de l’évènement discriminatoire tous les ajustements salariaux qui sont dus;
- De faire en sorte que la Loi prévoie que les personnes salariées jouissent d’un rôle décisionnel, notamment lors des évaluations du maintien;
- D’outiller la CNESST afin qu’elle dispose de l’information nécessaire et complète, notamment avec une bonification du contenu de la déclaration de l’employeur en matière d’équité salariale, ainsi que des ressources humaines et financières suffisantes pour s’assurer de l’application de la Loi de manière conforme.
Date limite pour signer : 25 février 2020
Nombre de signataires : 12810
Pour signer la pétition, suivre le lien suivant :
Pétition sur la révision de la loi sur l’équité salariale
Guy Ferland, lauréat 2020 du Prix de rayonnement de la philosophie au collégial
Par Yanick Binet et Daniel Desroches, professeurs de philosophie
Ste-Thérèse, le 28 janvier 2020. – C’est avec bonheur que les membres du département de philosophie ont appris que leur collègue Guy Ferland est le récipiendaire 2020 du Prix de rayonnement de la philosophie au collégial. Cette distinction est remise annuellement par la Société de philosophie du Québec (SPQ) pour souligner la contribution exceptionnelle d’un-e professeur-e du collégial à la communauté philosophique du Québec. Guy Ferland recevra son prix lors du Cocktail de la Société de philosophie du Québec organisé dans le cadre du Congrès annuel de l’ACFAS en mai prochain. Toutes nos félicitations au lauréat !
Guy Ferland est professeur de philosophie au collège depuis 1991. Il a été coordonnateur de département pendant 11 ans. Membre de la Commission des études du collège pendant 20 ans, il a su défendre à la fois les intérêts des étudiants, des professeurs ainsi qu’un idéal d’excellence pédagogique. Pour Guy Ferland, l’actualité de la philosophie ne se limite pas à la salle de classe et doit rayonner hors des institutions. Auteur prolifique, il a contribué aux pages de la rubrique Débats dans La Presse en plus d’y tenir une chronique intitulée «Ah! La vie!». Directeur de collection (Avec des si chez Somme toute et Penser philo chez ERPI), on lui doit également la rédaction du cours de philosophie 101 pour cégep@distance. En plus de ses lettres d’opinion dans les grands médias, Guy Ferland a aussi fait paraître deux manuels (Philosophie éthique chez ERPI et un Manuel d’activités pédagogiques).
Dans la catégorie «?»
L’un de ces bureaux est occupé par un «gars», «geek» qui écoute de la musique «métal». L’autre bureau est occupé par une «fille», «nerd» qui écoute de la «musique du monde»
Sauriez-vous dire lequel appartient à qui? 🙂
À venir:
20 février : ACCDP
26 février : Conseil syndical élargi
27-28 février : Regroupement Cégep à Québec
2 à 6 mars : Semaine de mise à niveau
8 mars : Journée internationale des droits des femmes
12 mars : Commission des études (CÉ)
13 mars : Comité régional de mobilisation CSN-Laurentides
18 mars : Journée nationale de réflexion et d’organisation pour le programme de bureautique
20 mars : Souper-conférence «Féministes de toutes nos forces»