« À un an des prochaines élections provinciales, le gouvernement a profité de la rentrée scolaire pour se montrer «généreux» et «pro-actif» en éducation. «Généreux» par le réinvestissement, dans d’«innovantes» politiques éducatives, d’une infime partie de tous les milliards qu’il a coupés. «Pro-actif» aussi en enseignement supérieur: la ministre David s’est faite bien présente dans les médias pour annoncer des projets consensuels bien ciblés. Malheureusement, les actions gouvernementales de l’été et l’agenda politique de l’automne ne font que confirmer le projet de marchandisation du savoir entrepris par les libéraux il y a 15 ans. Les États généraux de l’enseignement supérieur (ÉGES) doivent devenir la plateforme de lutte commune permettant aux acteurs.trices de l’éducation de peser de tout leur poids pour restaurer un projet éducationnel progressiste et émancipateur.»
Dans sa dernière chronique, le comité école et société de la FNEEQ recense les actions gouvernementales en éducation des derniers mois : l’éternelle menace d’un ordre professionnel, une stratégie contre les violences sexuelles et contrôle de la rémunération des recteurs, une nouvelle politique pour la réussite éducative, des modifications au Règlement sur le régime des études collégiales (RREC), etc.
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